Développées pour les sportives, les raw barres Fempower sont les premières barres énergétiques conçues pour soutenir les femmes pendant leurs règles. Soutenu par l’INSEP et documenté par des travaux de recherche scientifique, Fempower est aussi le signe de la prise en compte du cycle menstruel, sur le segment en plein développement du marché de la santé féminine.
Fempower : des barres énergétiques issues de la recherche scientifique sportive
Si la nutrition sportive n’est pas une nouveauté, l’adapter au cycle féminin en est une. Fempower est ainsi une réelle innovation sur le segment marché, car développée spécifiquement pour soutenir les sportives pendant leurs règles, voire tout au long de leur cycle menstruel.
Derrière la marque, Juliana Antero, chercheuse à l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance, plus connu sous l’acronyme INSEP, le centre national français d’entrainement olympique et paralympique, qui compte 780 sportives et sportifs de haut niveau. Les recherches de l’équipe qu’elle dirige portent sur l’impact des fluctuations hormonales en rapport avec les cycles menstruels ou la contraception hormonale, ainsi que sur l’entraînement et la performance des sportives se préparant aux Jeux Olympiques de Paris en 2024.
Juliana Antero met d’ailleurs un e-book très instructif à disposition sur le site de Fempower, « Cycle menstruel et sport, tout ce que les sportives devraient savoir sur elles-mêmes ».
Ingrédients bruts et fer micro-encapsulé
Conditionnées par boîte de 10, les barres sont composées d’ingrédients sélectionnés en fonction des besoins identifiés des sportives. On y trouve des fruits crus et bruts – d’où l’appellation de raw barres – : pâte de datte, poudre d’amandes, noisettes torréfiées, framboises mais aussi Camu Camu, Acérola, Guarana, cannelle poudre et vanille en gousse. On y trouve aussi du fer micro-encapsulé, à hauteur de 2,4 mg.
Cet apport en fer est particulièrement intéressant quand on sait que la carence en fer touche entre 15 à 35 % des sportives et compromet la performance et le bien-être [1]. Des conséquences aggravées en cas de ménorragie, celle-ci entraînant une anémie ferriprive synonyme de baisse d’énergie et de performance.
La nutrition pour les sportives sort peu à peu de l’ombre
Ces premières barres énergétiques Fempower spécialement pensées pour les sportives en est le signe, et vient mettre une autre pierre à l’édifice de la question de la nutrition sportive adaptée aux femmes, très longtemps ignorée. En France – toujours à l’INSEP et sur le registre de la prise en compte du cycle – on peut citer les travaux de la gynécologue-médecin du sport Carole Maitre, autrice du guide Sport au féminin – sportives de haut niveau : Les cycles, les règles, la contraception et la performance.
Mais il n’y a pas que dans l’Hexagone qu’on se pose la question de l’impact du cycle menstruel sur la performance. Ainsi, lors de la Coupe du Monde de football 2019, les joueuses de l’équipe nationale américaine suivaient toutes un programme d’entraînement et un régime alimentaire adaptés à leurs règles. Une approche initiée par l’entraîneuse Dawn Scott dès 2016 et documentée par les travaux de recherche du docteur Georgie Brunvels, à l’origine du déploiement de l’application Fitr Woman. Pour mémoire, ce sont les Américaines qui ont remporté le trophée.
Plus largement, le lien entre cycle menstruel et alimentation sort lui aussi peu à peu de l’ombre, notamment grâce à des initiatives comme Kiffe ton cycle, ainsi que via la nutraceutique dans la vertueuse mouvance de la FemTech avec, par exemple, la gamme Cycle d’Omum, dont nous parlions récemment.
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[1] Ebook Cycle et Sport