Thomas Boisserie, c’est d’abord un parcours atypique
On va vous dire que cet entrepreneur est d’abord guidé par des valeurs éthiques, et ce dernier terme ne sera même pas galvaudé. Ancien étudiant en école de commerce, il n’a à proprement parler jamais fait de commerce mais a commencé sa première vie professionnelle auprès d’ONG dédiées à la préservation de l’environnement. Puis Thomas Boisserie a expérimenté la création d’entreprise dans un tout autre domaine, avant de se lancer dans la création de sa première exploitation d’aquaponie, Les Nouvelles Fermes, en 2019.
A propos d’aquaponie, peut-être est-il utile de rappeler ici que ce terme est constitué de la contraction d’aquaculture – l’élevage d’animaux en milieu aquatique – et d’hydroponie, la culture de plantes réalisée sur un substrat irrigué d’une solution nutritive.
Avec l’aquaponie, l’idée de proposer des produits accessibles au plus grand nombre
Chez Thomas Boisserie, c’est le bon sens qui prime. Un héritage, peut-être, des racines de viticulteur qui remontent à ses grands-parents, qui l’a amené à développer Les Nouvelles Fermes aux portes de Bordeaux, en associant les compétences – il emploie très souvent le « nous » – pour donner vie à un projet aujourd’hui en plein développement.
Au fil de cet échange passionnant avec Grégory Dubourg, vous découvrirez comment Les Nouvelles Fermes ont vu le jour, mais aussi leurs futures terres promises de développement.
Ca se passe par ici, bonne écoute à vous !
Un article rédigé avec Anaïs Sabarots, assistante cheffe de projet, merci à elle !
