Jérémy Boué : Monsieur Hydratis
Ce nouvel épisode du podcast de Culture Nutrition vous fait plonger dans le parcours et la vision entrepreneuriale de Jérémy Boué, mais aussi dans le grand sujet de l’hydratation, qui se positionne comme une vraie tendance marché. Hydratis est précurseur sur ce marché en proposant des solutions de réhydratation orale pour s’hydrater ou se réhydrater plus efficacement en fonction de multiples contextes et situations.
Un chemin en plusieurs étapes
L’histoire a commencé en Australie et en binôme, avec Théo Heude, qui deviendra son associé. Un trek, une totale déshydratation des deux coureurs et une solution riche en électrolytes, qu’un habitant local leur a donné : voilà une partie de l’histoire qui est à l’origine de la création d’Hydratis.
Car c’est à la suite de cette aventure qu’ils ont décidé de s’associer pour créer l’entreprise en 2019. Pour cela, Jérémy Boué s’est appuyé notamment sur la fibre entrepreneuriale qui sévit dans la famille de ce fils de gérants d’une boutique, passé par un BEP cuisine puis par de nombreux chemins de traverse. Lesquels ? Vous le découvrirez à l’écoute du podcast !
L’hydratation au coeur, l’innovation en plus
Au fil de cet épisode, Jérémy Boué explique comment il s’est rendu compte d’une différence culturelle importante concernant l’enrichissement des eaux en minéraux et oligoéléments, entre les pays Anglosaxons et la France. C’est ce constat qui a mené au positionnement de la start-up sur ce marché de l’hydratation, puis à en prendre le monopole.
Pour autant, la réussite s’accompagne aussi de moments de doute et de solitude, et Jérémy Boué les aborde avec sincérité et explique les actions mises en oeuvre pour les surmonter. Parmi elles, l’intégration du Réseau Entreprendre Paris, dont les deux associés ont été Lauréats.
Enfin, vous saurez comment Hydratis, dont le lancement imaginé a été stoppé par la crise Covid, a trouvé le moyen d’exister et de se développer avec des moyens minimes, du « bluff » et une motivation maximale. Et ça se passe juste là :
Un article rédigé avec Anaïs Sabarots, assistante cheffe de projet. Merci à elle !